Réussir sa sortie
Re: Réussir sa sortie
bonjour ,
le terrorisme c'est comme le sel on en met partout !!mais c'est surtout pour entretenir la peur ,moi je n'ai pas peur ,du moins je n'y pense pas autrement on reste enfermé chez soi ,barricadé !
je voyage ,je profite de la vie et advienne que pourra. inchalla.
- question : est ce vraiment pour lutter contre le terrorisme ? car ils ont bien réussi leurs coups malgré tout le système en place.
http://news.liguedesconducteurs.org
Contrairement à ce que le gouvernement répète en boucle depuis des années, les radars n’ont jamais sauvé de vie.
Je suis conscient pour que de nombreuses personnes, cette vérité est difficile à entendre. Comment pourraient-elles soupçonner que les pouvoirs publics font de la propagande mensongère sur un sujet aussi grave ?
Pourtant, les faits sont là :
Les chiffres fournis par l’ONISR, l’Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière, montrent clairement que le nombre de tués sur les routes baisse de façon quasi-continue depuis 40 ans.
Il y a cinq fois moins de tués sur les routes aujourd’hui qu’en 1972, alors que la circulation a augmenté de près de 80 % dans le même temps. C’est un formidable succès. Mais il ne doit rien aux radars.
Au contraire.
La baisse de la mortalité s'est même infléchie depuis leur mise en place à la fin de l’année 2003 et la répression aveugle qui s’en est suivie.
Les raisons de ce recul de la mortalité routière depuis plus de 30 ans sont bien connues :
- amélioration constante des routes et des carrefours
- amélioration des véhicules : airbags, abs, aide à la conduite, port de la ceinture...
- campagnes de sensibilisation et de prévention efficaces
- lutte contre l’alcool au volant, répression ciblée et mesurée des conduites dangereuses.
Pourtant, à partir de la fin de l’année 2003, la politique de prévention routière qui avait si bien commencé est progressivement abandonnée.
L’État commence à investir dans les radars :
Ils deviennent la pierre angulaire d’un système de répression de masse qui frappe essentiellement les petits excès de vitesse. Pourtant, rouler à 3 ou 4 km/h au-dessus de la limite autorisée, ce n'est pas ce qu'on peut appeler une conduite dangereuse.
Le système du « tout radars » punit aveuglément le plus grand nombre sans réduire pour autant le nombre d’accidents et de morts sur les routes.
Treize ans après, la situation est catastrophique :
Les petits dépassements de vitesse représentent 95 % des retraits de points.
Chaque année, 230 000 personnes perdent leur permis.
Et environ un tiers d’entre elles - près de 77 000 - perdent leur emploi par la suite. Des VRP, des livreurs, des infirmières libérales, des médecins qui ne peuvent plus exercer.
Malgré cette hécatombe, le gouvernement s’acharne à diaboliser la vitesse.
Cela permet de verbaliser les gens qui conduisent raisonnablement, et ont d’ailleurs 50% de bonus sur leur assurance, mais qui ont le malheur de dépasser de quelques km/h la limite autorisée.
C’est un réservoir gigantesque de nouvelles rentrées fiscales déguisées.
et ça continue encore.
le terrorisme c'est comme le sel on en met partout !!mais c'est surtout pour entretenir la peur ,moi je n'ai pas peur ,du moins je n'y pense pas autrement on reste enfermé chez soi ,barricadé !
je voyage ,je profite de la vie et advienne que pourra. inchalla.
- question : est ce vraiment pour lutter contre le terrorisme ? car ils ont bien réussi leurs coups malgré tout le système en place.
http://news.liguedesconducteurs.org
Contrairement à ce que le gouvernement répète en boucle depuis des années, les radars n’ont jamais sauvé de vie.
Je suis conscient pour que de nombreuses personnes, cette vérité est difficile à entendre. Comment pourraient-elles soupçonner que les pouvoirs publics font de la propagande mensongère sur un sujet aussi grave ?
Pourtant, les faits sont là :
Les chiffres fournis par l’ONISR, l’Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière, montrent clairement que le nombre de tués sur les routes baisse de façon quasi-continue depuis 40 ans.
Il y a cinq fois moins de tués sur les routes aujourd’hui qu’en 1972, alors que la circulation a augmenté de près de 80 % dans le même temps. C’est un formidable succès. Mais il ne doit rien aux radars.
Au contraire.
La baisse de la mortalité s'est même infléchie depuis leur mise en place à la fin de l’année 2003 et la répression aveugle qui s’en est suivie.
Les raisons de ce recul de la mortalité routière depuis plus de 30 ans sont bien connues :
- amélioration constante des routes et des carrefours
- amélioration des véhicules : airbags, abs, aide à la conduite, port de la ceinture...
- campagnes de sensibilisation et de prévention efficaces
- lutte contre l’alcool au volant, répression ciblée et mesurée des conduites dangereuses.
Pourtant, à partir de la fin de l’année 2003, la politique de prévention routière qui avait si bien commencé est progressivement abandonnée.
L’État commence à investir dans les radars :
Ils deviennent la pierre angulaire d’un système de répression de masse qui frappe essentiellement les petits excès de vitesse. Pourtant, rouler à 3 ou 4 km/h au-dessus de la limite autorisée, ce n'est pas ce qu'on peut appeler une conduite dangereuse.
Le système du « tout radars » punit aveuglément le plus grand nombre sans réduire pour autant le nombre d’accidents et de morts sur les routes.
Treize ans après, la situation est catastrophique :
Les petits dépassements de vitesse représentent 95 % des retraits de points.
Chaque année, 230 000 personnes perdent leur permis.
Et environ un tiers d’entre elles - près de 77 000 - perdent leur emploi par la suite. Des VRP, des livreurs, des infirmières libérales, des médecins qui ne peuvent plus exercer.
Malgré cette hécatombe, le gouvernement s’acharne à diaboliser la vitesse.
Cela permet de verbaliser les gens qui conduisent raisonnablement, et ont d’ailleurs 50% de bonus sur leur assurance, mais qui ont le malheur de dépasser de quelques km/h la limite autorisée.
C’est un réservoir gigantesque de nouvelles rentrées fiscales déguisées.
et ça continue encore.
Re: Réussir sa sortie
Bonjour,louis57 a écrit : ↑29 avr. 2017, 19:20 bonjour ,
le terrorisme c'est comme le sel on en met partout !!mais c'est surtout pour entretenir la peur ,moi je n'ai pas peur ,du moins je n'y pense pas autrement on reste enfermé chez soi ,barricadé !
je voyage ,je profite de la vie et advienne que pourra. inchalla.
- question : est ce vraiment pour lutter contre le terrorisme ? car ils ont bien réussi leurs coups malgré tout le système en place.
http://news.liguedesconducteurs.org
Contrairement à ce que le gouvernement répète en boucle depuis des années, les radars n’ont jamais sauvé de vie.
Je suis conscient pour que de nombreuses personnes, cette vérité est difficile à entendre. Comment pourraient-elles soupçonner que les pouvoirs publics font de la propagande mensongère sur un sujet aussi grave ?
Pourtant, les faits sont là :
Les chiffres fournis par l’ONISR, l’Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière, montrent clairement que le nombre de tués sur les routes baisse de façon quasi-continue depuis 40 ans.
Il y a cinq fois moins de tués sur les routes aujourd’hui qu’en 1972, alors que la circulation a augmenté de près de 80 % dans le même temps. C’est un formidable succès. Mais il ne doit rien aux radars.
Au contraire.
La baisse de la mortalité s'est même infléchie depuis leur mise en place à la fin de l’année 2003 et la répression aveugle qui s’en est suivie.
Les raisons de ce recul de la mortalité routière depuis plus de 30 ans sont bien connues :
- amélioration constante des routes et des carrefours
- amélioration des véhicules : airbags, abs, aide à la conduite, port de la ceinture...
- campagnes de sensibilisation et de prévention efficaces
- lutte contre l’alcool au volant, répression ciblée et mesurée des conduites dangereuses.
Pourtant, à partir de la fin de l’année 2003, la politique de prévention routière qui avait si bien commencé est progressivement abandonnée.
L’État commence à investir dans les radars :
Ils deviennent la pierre angulaire d’un système de répression de masse qui frappe essentiellement les petits excès de vitesse. Pourtant, rouler à 3 ou 4 km/h au-dessus de la limite autorisée, ce n'est pas ce qu'on peut appeler une conduite dangereuse.
Le système du « tout radars » punit aveuglément le plus grand nombre sans réduire pour autant le nombre d’accidents et de morts sur les routes.
Treize ans après, la situation est catastrophique :
Les petits dépassements de vitesse représentent 95 % des retraits de points.
Chaque année, 230 000 personnes perdent leur permis.
Et environ un tiers d’entre elles - près de 77 000 - perdent leur emploi par la suite. Des VRP, des livreurs, des infirmières libérales, des médecins qui ne peuvent plus exercer.
Malgré cette hécatombe, le gouvernement s’acharne à diaboliser la vitesse.
Cela permet de verbaliser les gens qui conduisent raisonnablement, et ont d’ailleurs 50% de bonus sur leur assurance, mais qui ont le malheur de dépasser de quelques km/h la limite autorisée.
C’est un réservoir gigantesque de nouvelles rentrées fiscales déguisées.
et ça continue encore.
Alors il ne reste qu'une chose à faire, être prudent, et respecter les limitations.
Les radars contrôles de police, et l'alcootest je ne les craint pas.
Le terrorisme ne m'empêches pas de bouger ni de dormir, mais j'y pense et me dit que je peux me trouver la au mauvais moment, comme ça a été le cas pour beaucoup d'autres!
Re: Réussir sa sortie
Bonsoir
louis57 tout comme pour la campagne électorale je ne lis et n'écoute pas tout, ta prose est trop longue pour un dimanche soir, je verrai demain si j'en ai le cœur.
Attention à ce que l'on fait sur la route....
A+
louis57 tout comme pour la campagne électorale je ne lis et n'écoute pas tout, ta prose est trop longue pour un dimanche soir, je verrai demain si j'en ai le cœur.
Attention à ce que l'on fait sur la route....
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“Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente.”
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